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Elle est exactement comme elle doit être, le lendemain de vents frôlant les 122 km/heure en ce 23 novembre 2017. Mais elle réussit toujours à se calmer, comme un cheval qu’on aurait poussé à son extrême limite sur une piste de sable rouge. Juste un peu d’écume aux lèvres, le naseau bruyant et les flancs humides.  J’ai eu un automne à 122 km à l’heure, multipliant des projets en patrimoine qui me tenaient à cœur, je suis maintenant en mode après tempête. Respirer l’air vivifiant, ça ouvre les poumons. On fait le plein d’énergie et l’on remet le compteur à zéro… La création peut reprendre son cours. Vive la vie en bord de mer…

 

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